SAMEDI 15 & DIMANCHE 16 OCTOBRE 2022
avec Xiangnan Guo
Avec ce stage, découvrez comment faire naître sous votre pinceau des grappes de raisin et des petits poussins grâce à la technique de la peinture chinoise.
Avec ce stage, découvrez comment faire naître sous votre pinceau des grappes de raisin et des petits poussins grâce à la technique de la peinture chinoise.
La barbotine de porcelaine papier offre de nombreuses possibilités par ses propriétés et ouvre d’innombrables voies par ses applications nouvelles et surprenantes.
Travail en paroi fines et translucides, drapés délicats, dentelles et filigranes, assemblage à tous les degrés d’humidité. Une approche ludique ou chacun·e pourra exprimer sa créativité.
Une marmotte qui pousse un rocher ? Ça n’existe pas ! Un bateau de migrants posé au pied d’une chaise ? Ça n’existe pas ! Lorsque l’on arrive à Arras-en-Lavedan, on a l’impression, comme dans la comptine pour enfants, d’avoir débarqué dans un village extraordinaire. Au fil des ruelles et des chemins, l’art contemporain est partout. Il faut alors se laisser porter parce brin de culture et la fantaisie qui se cache un peu partout, pour découvrir alors le clocher rectangulaire de l’église, l’ancien presbytère et sa tour circulaire devenue Maison des Arts.
L’artiste plasticienne Aïdée Bernard qui vit et travaille à Puisserguier dans l’Hérault nous fait l’amitié de venir animer un stage de création papier à la Maison des Arts d’Arras en Lavedan. Le stage intitulé « Pâtes à papier et fibres brutes » aura lieu les 28, 29 et 30 septembre.
« L’association L’Abbadiale accueille une exposition de créations papier d’Aïdée Bernard jusqu’au 30 septembre (visible du vendredi au lundi, de 15 h à 18 h), à la Maison des arts à Arras-en-Lavedan. C’est la première fois que l’artiste biterroise expose par le biais de l’Abbadiale qui l’a sollicitée devant l’originalité de ses créations…. »
Ouvert les vendredis, samedis, dimanches et lundis de 15h à 18h.
Une exposition des oeuvres d’Aïdée Bernard sera présentée du 14 au 30 septembre.
Nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage de cette exposition, en présence de l’artiste, le jeudi 13 septembre à partir de 18h.
« Artiste papier, Aïdée Bernard expérimente la transformation des plantes en fibres à papier. Elle réalise avec les fibres végétales des kakemonos, installations, sculptures diaphanes et livre-objets où le papier devient mode d’expression à part entière, fibre-signe, mot-filigrane, matière-peau. »
Rencontre avec les artistes le 19 août à partir de
« Avec la création des livres d’artiste envisagés comme espaces poétiques, de nouvelles recherches de support voient le jour, avec un souci de mise en scène poétique dans un espace donné. La proximité avec la nature est toujours présente. Mais désormais, Il ne s »agit plus simplement d’ évoquer la nature mais de composer avec elle au présent en créant des rencontres poétiques à partir de tous ces petits riens qui me fascinent ou de ces immensités qui me ravissent. Je poursuis ce travail dans la Nature et dans les résidences d’artistes avec des créations proches du Land art, accompagnées de photographies. »
« Tout ce blanc de la toile il faut y plonger.
Accepter de sauter et laisser surgir de ce chaos l’inconnu.
Il faut faire silence
Endormir la pensée
Attendre
Ne pas s’efforcer de réussir
Ne pas comprendre
Ne pas expliquer
Juste faire apparaître ce qui jusqu’alors était invisible.
Il faut s’approcher doucement, tâtonner, douter.
Il faut se dépouiller, renoncer, détruire.
Aller vers plus de fragilité.
Là le savoir n’existe pas »
« Autodidacte, j’ai commencé par écrire de la poésie, puis j’ai créé des livres-objets pour donner un lieu à mes poèmes. L’étape suivante fut le découpage du texte et le début des écritures sculptées. Aujourd’hui, le papier mâché est venu donner du volume à mon travail, les accumulations ont pris de l’ampleur et ont fait basculer l’écriture du côté de la sculpture… »
« Isabelle Flexer développe son art au travers de différentes techniques telles que le mordançage, un procédé chimique de désintégration partielle de la gélatine qui enveloppe l’argent d’une image photographique, ou le photogramme, procédé consistant à créer des images sans l’intermédiaire de l’appareil photographique, en exposant directement à la lumière un objet placé sur une surface sensible. Les effets ainsi obtenus plongent le visiteur dans une observation d’étonnement. »