Exposition du 21 septembre au 3 novembre 2019
Du jeudi au lundi de 15h à 18 h
Vernissage le dimanche 22 septembre à partir de 15h
Du jeudi au lundi de 15h à 18 h
Vernissage le dimanche 22 septembre à partir de 15h
Ouvert du jeudi au lundi de 15h à 19h
Rencontre avec les artistes le samedi 17 août à partir de 18h30
Ouvert du mercredi au dimanche de 15h à 19h
Présidente de l’association « Dare d’art » qui regroupe quelques verriers céramistes réputés ainsi que des collectionneurs. « On n’est jamais au bout de nos passions, et les belles choses redonnent le sourire en ces périodes tristes. »
www.roselyneb-ceramver.fr
« Le travail minimaliste de Morello qui puise ses sources dans l’abstraction géométrique, le monochrome et l’art concret, est longuement réfléchi et préparé par des croquis. Il ne livre aucune trace expressionniste, exclut le hasard et l’ hésitation et mobilise tout notre sens esthétique… »
« La peinture est devenue pour moi un exutoire, une respiration, une nécessité. La passion de la peinture a toujours été présente, sous-jacente. »
www.olivier-pouey.com
Casilda
«J’aime surprendre, choquer, susciter une réaction.Toutes les femmes se reconnaissent, on maigrit, on grossit.»
Doris Parolo
«Je malaxe la terre et je regarde si je vois quelqu’un dedans.»
Marie Penetro
«J’ai une admiration pour la force de la femme mais j’aime avant tout l’humain, le corps de la femme.»
« L’association L’Abbadiale a décidé de mettre les femmes à l’honneur en conviant trois artistes féminines pour une exposition dédiée à la femme. Jusqu’à fin décembre prochain, la Maison des arts à Arras-en-Lavedan accueille donc les œuvres de trois artistes aux sensibilités différentes mais au talent égalé ! Doris Parolo est l’artiste locale de l’exposition, tout en sensibilité et discrétion ! Sa spécialité : la sculpture, et sa matière de prédilection : la terre. Une matière à qui elle donne vie avec poésie ! «Je malaxe la terre et je regarde si je vois quelqu’un dedans.»…. »
Rencontre avec les artistes le 19 août à partir de
« Avec la création des livres d’artiste envisagés comme espaces poétiques, de nouvelles recherches de support voient le jour, avec un souci de mise en scène poétique dans un espace donné. La proximité avec la nature est toujours présente. Mais désormais, Il ne s »agit plus simplement d’ évoquer la nature mais de composer avec elle au présent en créant des rencontres poétiques à partir de tous ces petits riens qui me fascinent ou de ces immensités qui me ravissent. Je poursuis ce travail dans la Nature et dans les résidences d’artistes avec des créations proches du Land art, accompagnées de photographies. »
« Tout ce blanc de la toile il faut y plonger.
Accepter de sauter et laisser surgir de ce chaos l’inconnu.
Il faut faire silence
Endormir la pensée
Attendre
Ne pas s’efforcer de réussir
Ne pas comprendre
Ne pas expliquer
Juste faire apparaître ce qui jusqu’alors était invisible.
Il faut s’approcher doucement, tâtonner, douter.
Il faut se dépouiller, renoncer, détruire.
Aller vers plus de fragilité.
Là le savoir n’existe pas »
« Autodidacte, j’ai commencé par écrire de la poésie, puis j’ai créé des livres-objets pour donner un lieu à mes poèmes. L’étape suivante fut le découpage du texte et le début des écritures sculptées. Aujourd’hui, le papier mâché est venu donner du volume à mon travail, les accumulations ont pris de l’ampleur et ont fait basculer l’écriture du côté de la sculpture… »
« Isabelle Flexer développe son art au travers de différentes techniques telles que le mordançage, un procédé chimique de désintégration partielle de la gélatine qui enveloppe l’argent d’une image photographique, ou le photogramme, procédé consistant à créer des images sans l’intermédiaire de l’appareil photographique, en exposant directement à la lumière un objet placé sur une surface sensible. Les effets ainsi obtenus plongent le visiteur dans une observation d’étonnement. »
Vernissage Lundi 31 Octobre à partir de 18h
Après plusieurs voyages en Amérique Latine
Jacques Le Roux nous invite à découvrir ses peintures sur verre
dans une ambiance musicale personnelle
« L’Abbadiale accueille, jusqu’au 1er mai, une exposition des œuvres de la famille Cavin. C’est la première fois que «Nini», Claude et leur fille Fanny exposent uniquement tous les trois. Dans la famille Cavin, commençons par le père. Peintre dans ses jeunes années ayant eu les honneurs d’une première exposition au Grand Palais à 20 ans, il bifurque vers la sculpture quand Henri Grandserre lui demande pourquoi il peint des sculptures au lieu de les faire. Une phrase déterminante dans sa vie ! »…. »
Du 2 avril au 1er mai 2016
L’Abbadiale accueille, jusqu’au 1er mai, une exposition des œuvres de la famille Cavin. C’est la première fois que «Nini», Claude et leur fille Fanny exposent uniquement tous les trois.
Nicole Cavin – Peinture
Fanny Cavin – Peinture
Clude Cavin – Sculpture